- Agroalimentaire

Pierre-Louis Cotte-Martinon, responsable de secteur GMS, Florette

Pierre-Louis Cotte-Martinon, responsable de secteur GMS, Florette

« Nous sommes des entrepreneurs sur notre secteur »

Même s’il est souvent seul au volant entre deux hyper- ou supermarchés, Pierre-Louis Cotte-Martinon apprécie de faire partie d’une équipe où l’entraide « fait grandir ».

Pierre-Louis Cotte-Martinon a choisi de faire le même métier que son père : responsable de secteur GMS. Basé à Valence, il sillonne la Drôme et l’Ardèche pour développer les ventes de Florette, à raison de cinq à six rendez-vous par jour. Son objectif ? Augmenter le chiffre d’affaires, par le référencement de nouveaux produits, l’amélioration de la visibilité des produits, l’organisation d’opérations promotionnelles… Auprès de quels interlocuteurs ? Des chefs de rayon ou des chefs de secteur frais.

Cette partie opérationnelle du poste est complétée par une partie analytique. Grâce aux données de suivi des marchés, le responsable de secteur analyse les tendances pour orienter ses clients vers les produits qui répondent bien à la demande. Par exemple, les herbes aromatiques ou les plateaux apéritifs à base de légumes sont à la mode actuellement pour la 4e gamme.

Rigueur et organisation

« Pour faire ce métier, il faut être autonome, car nous sommes vraiment des entrepreneurs sur notre secteur », résume Pierre-Louis Cotte-Martinon. Rigueur et organisation sont donc de mise. Pour autant, il apprécie d’appartenir à une équipe commerciale soudée, qui s’entraide au quotidien : « Nous nous encourageons et cela nous fait tous grandir. » Dans cette fonction commerciale, le sens du relationnel est indispensable. « Dans les magasins, je suis en contact avec plus d’une centaine de personnes, parfois très différentes, et je dois m’adapter à leurs problématiques. C’est d’ailleurs ce qui fait la variété du métier », indique-t-il.

Vendre un produit sain a été un critère déterminant dans son choix de travailler pour Florette. Un produit qu’il inclut  d’ailleurs dans l’ensemble de la chaîne alimentaire : « Si on fait une importante mise en avant, par exemple, peut-être que cela va générer un peu d’emplois en amont, se réjouit-il. Et puis, le produit est vivant : c’est un facteur de stress, car nous sommes soumis à des aléas quotidiens, mais c’est aussi un point positif, car cela montre son côté naturel. »